Je n'aime plus être tout seul...

Je n'aime plus être tout seul...

Central Park, un lieu que WALL•E aimait tout particulièrement, surtout depuis le jour où il avait retrouvé l'amour de sa vie. Marchant paisiblement et les mains enfoncées dans les poches de son jean, l'ancien petit robot tout mignon observait les environs avec son habituelle curiosité, toujours aussi insatiable. Stoppant brusquement ses pas, il se pencha pour ramasser quelque chose sur le sol. C'était une peau de banane, similaire à celle qui l'avait fait chuter auparavant, similaire à celle qui avait fait venir à lui l'être le plus merveilleux de tout l'univers. Il sourit, se souvenant de cette journée inoubliable, puis il alla mettre la peau de banane dans une poubelle qui se trouvait non loin de là. Il reprit ensuite sa marche, son regard de nouveau en train de contempler les alentours. Toute cette verdure était si apaisante, c'était tellement différent de chez lui. Pris d'une envie soudaine, WALL•E alla s'allonger dans l'herbe, plaçant ses bras sous sa tête et observant les nuages. Il n'avait pas emporté sa guitare avec lui aujourd'hui, c'était un jour où il ne travaillait pas. Malheureusement ce n'était pas le cas pour celle qui faisait battre son coeur. EVE avait reçu un appel pour une urgence informatique et elle avait dû laisser son compagnon partir tout seul pour Central Park où ils avaient prévu à l'origine de passer la journée ensemble.

Je te rejoindrais là-bas dès que j'en aurais terminé. Lui avait-elle dit, tout en attrapant sa veste, son ordinateur portable et en lui faisant un doux bisou sur le front.

WALL•E l'avait regardé s'en aller avec un petit pincement au coeur, il n'aimait pas être séparé d'elle, il avait toujours peur qu'il lui arrive quelque chose de fâcheux, c'était plus fort que lui, il ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter pour elle. Il chassa là ses pensées et il se redressa, restant assis sur l'herbe fraîchement coupée. Il poussa un petit soupir tout triste, la journée risquait d'être longue sans sa bien-aimée...

| Messages | : 102 Date d'inscription : 27/08/2012

...Et qui te dit
" et tu le seras encore très longtemps" ?

Squall Leonhart, en cette belle journée ensoleillée, se promenait encore dans Centrale Park, si on peut appelait ça se promener, on devrait plutôt dire qu'il trainait des pieds d'ici de là pour passer le temps. En effet, étant arrivés depuis peu à New York, n’aient ni famille, ni amis, ni même une vague connaissance dans cette ville, et en toute logique aucun emploi convenable, il avait donc beaucoup de temps libre, vraiment beaucoup... La plus par du temps, pour ceux qui chercher après lui, et dieux seuls c'est à quel point ils sont peut nombres, on pouvait le trouver dans ce magnifique parque de New York, où devrais-je dire LE parque de New York. on aurait pu croire en le regard de loin comme ça, qu'il était oisif, voire même complètement paresseux. mais dans sont fort intérieur, au plus profond de lui-même, mais alors vraiment profond, il était agité et accablé de souci.
Les problèmes étaient les suivent. Primo, trouver de quoi se nourrir, non ce n'était pas trouver de quoi boire car dans Central Park se trouver de nombreuses fontaines à eaux, qui étaient non seulement gratuites, mais potable aussi. Deuxio, trouver un logement décent, car dormir à la belle étoile ne pouvait pas durer éternellement. Et, pour finir, la chose la plus impotente qu'il avait à faire, chercher à savoir comment et pourquoi il était arrivé ici, mais sur tout, comment pouvait-il retourner chez lui.
Il ruminait ses sombres penser, tout en marche négligemment et passe devant de nombreuses personnes, quand il lui vient une idée, une de ces idées qui passe en coup de vent, qu'on sait qui est bonne mais qu'on n'arrive pas sa saisir. Non, elle était passée et ne pue la garde en mémoire.
Leon s’arrêta net, il ne s’en était pas rendu compte, mais même si Squall avait beaucoup de charisme et qu'il fessait de l'ombre a certaines personnes de son entourage, au sens métaphorique du terme, là, il fessait aussi de l'ombre à une personne, mais dans un sens littéral. Il cachait, par inadvertance de sa part, le soleil a une personne allonger dans l'herbe.

Pourquoi me faire de l'ombre ?

WALL•E, toujours assis sur l'herbe, les jambes relevées contre son torse et les bras entourant celles-ci, avait fermé les yeux et sentait la chaleur de l'astre du jour sur son visage. Le soleil était la source de la vie, en particulier la sienne lorsqu'il était chez lui sous sa forme originelle de robot. L'énergie solaire était vitale pour lui, elle lui permettait de fonctionner et d’exécuter le travail qu'on lui avait confié : "Nettoyer la Terre. Un cube à la fois !". WALL•E aimait beaucoup sentir la douce chaleur de l'étoile la plus proche de la Terre, c'est pourquoi il fronça les sourcils, légèrement désappointé, lorsqu'une ombre se plaça entre lui et le soleil. Il ouvrit les yeux et leva la tête pour comprendre l'origine de son brusque passage dans l'obscurité. Non ce n'était pas un nuage comme il croyait d'abord, c'était un humain, un jeune homme, qui était debout devant lui et qui lui faisait de l'ombre. Pourquoi était-il planté là ? En observant mieux, WALL•E remarqua que le nouveau venu semblait soucieux, comme si ce dernier était perdu dans ses pensées. Sinon pourquoi restait-il immobile comme ça, debout et lui faisant de l'ombre ?

Quelque chose ne va pas ? Demanda-t-il d'une voix douce, son regard bleu si expressif exprimant de la curiosité mais aussi de l'inquiétude, compatissant alors au trouble apparent de son interlocuteur.

L'ancien petit robot tout mignon se leva, dépoussiérant son jean pour enlever quelques brins d'herbe qui étaient encore dessus, puis il reporta son attention sur le jeune homme et lui fit un petit sourire timide avant de se présenter :

Je m'appelle WALL•E...

» Seul et sans repère à New York, Histoire d'une arrivée dans un monde inconnue [solo]
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Je n'aime plus être tout seul...

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